On se demande à quoi peuvent bien ressembler ces agresseurs....JUSTE POUR INFO
VOILA CE QUE L'ON NE DIT PAS AUX INFOS NATIONALES :"Collègues de la C.R.S.29, Salut à tous et aussi à vous braves gens crédules qui ne croyez que ce que vous voyez ou entendez aux infos J'étais sur les "Tarterets", hier soir, pris à partie.
Pour résumer, les collègues ont contrôlé une camionnette pourrie et ont vu une vingtaine d'individus cagoulés (barre de fer, batte de base balle et surtout pavés) fondre sur eux depuis une butte juste au-dessus d'eux. Les 4 collègues qui étaient en contrôle ont juste eu le temps de se jeter à l'intérieur du véhicule tandis que Régis (le conducteur) prenait un pavé en plein visage. Et là, déferlement de violence, les mecs ont essayé de rentrer à l'intérieur, les collègues qui étaient derrière tenaient les portes pendant que Régis se faisait éclater la tête à bout portant par des pavés (17 pavés à l'intérieur du véhicule entre 500 g et 1 kilo, du sang partout, radio explosée), j'ai vu le véhicule : c'est un truc de fou. Un a réussi à rentrer par derrière (en ouvrant la porte par pesée !!! AVEC UN PIED DE BICHE) et a tiré la caisse munition qui, heureusement, était quasiment vide car les potes s'étaient bien équipés. Par chance, Régis n'a pas perdu connaissance, malgré la rafale qu'il a prit et a réussi à desserrer le frein à main pour partir malgré 2 pavés coincés sous les pédales. C'est juste un miracle que Régis soit en vie aujourd'hui (nez fracturé, plancher orbital enfoncé et plaies diverses), parfois on a des réflexes de survie insoupçonnables, car s'il perd connaissance, les mecs rentrent dans le boxer et, là, je pense qu'il y a mort d'un côté ou de l'autre. Les autres potes sont choqués par la violence de l'agression. Ils ont la haine de ne rien avoir pu faire pendant que Régis ramassait mais, malheureusement, ils n'ont pas eu le choix. Nous, on est arrivé quelques minutes après, on a progressé Ã pied dans la cité mais évidemment plus personne.
Français dormez tranquilles, tout est en ordre, continuez à croire les médias et à ne pas soutenir la police contre les voyous qui les agressent, la violence se rapproche de vous peu à peu. Mais ne pleurez pas demain sur votre sort quand elle sera à votre porte et que vous en serez victime."