Aaaaah, d'accord...
Donc Papi s'est emmêlé les pinceaux tout pareil dans le terme employé, alors !
C'est marrant, en fait, parce que figurez-vous que je laisse toujours une vitesse en prise en stationnement (c'est un réflexe) et que du coup, c'est ce que j'ai toujours fait : démarrer et couper avec la pédale d'embrayage enfoncée (débrayée, donc
).
Ca n'a pas empêché le volant moteur d'être foutu à 60 000 km (ce qui constitue une première, vu que ce n'est que la seconde fois de ma vie que j'ai à changer un embrayage (mes voitures meurent de vieillesse avant)... La Fiat 127 avait atteint les 220 000 km sans que j'aie touché au moteur (sauf l'allumage, j'ai maudit les moteurs à essence à cette époque), et je l'ai gardée quelques années...
le seul embrayage que j'ai changé avant ça, c'était sur ma première voiture, une vénérable Coccinelle... Il faut dire qu'il était bien fatigué !
Tandis que là, 60 000 km et paf : kit d'embrayage et volant moteur à changer.
Le gars du Tech 2 au garage, son Astra OPC, paf : même punition à 60 000 km...
Bon, la conduite en ville y est pour quelque chose : chenille dans les embouteillages, démarrages en côte... Je fais énormément patiner l'embrayage et il ne doit pas aimer... Tout de même, il reste plus fragile que ce que j'ai connu ailleurs.